When fiction replaces reality, the climate becomes less burdensome, vision larger and beings can breathe at last in their element and find again, without much effort, a liberty of mouvement which carries them, playing out of constraints, to the summits of inventive capabilities... Louis-René des Forêts. Ostinato. Paris:Gallimard, 2004, P.211.

une tristesse de zidolis

zidolis entra zidolis dans images zoogles. zidolis vit pleins de zidolis pixelisés. zidolis avait oublié qu'il fût un temps sidolaz. il fut surpris du ^ qu'il portait, ne savait pas bien s'il devait y être ou pas. zidolis avait oublié sidolaz et maintenant il s'en souvenait et il fut triste. voir sidolaz rendait zidolis triste.

zidolis pleurait et faisait faire des tours à sa souris sur son écran. quand zidolis ne va pas bien c'est ce qu'il fait, il promène son curseur à l'écran. zidolis se dit que regarder l'écran en plurant c'est un peu comme regarder de derrière une cascade. Et là zidolis fit des cascades des fils rss de sa barre personelle. zidolis pleurait encore d'avoir vu sidolaz quand zidolas rentra.

-pourquoi pleures-tu zidolis?
-je ne sais pas. zidolis est triste.
-pourquoi es-tu triste?
-zidolis ne sait pas.
-viens, viens?

zidolis vint dans les bras de zidolas. zidolas caressa la tête de zidolis jusqu'à ce qu'il ne pleura plus. zidolis s'endormit dans les seins à zidolas. zidolis rêva de sidolaz.

 
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